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Quitter un nouveau job : 5 trucs à garder en tête
Jean-Michel Clermont-Goulet
22 novembre 2018
Carrière
4 minutes à lire
703
Vous n’avez même pas encore installé la photo encadrée de votre chat sur votre nouveau bureau que vous voulez déjà quitter. Que faire ?
Imaginez ceci : vous venez de décrocher un nouveau boulot. C’est votre première semaine au bureau, et les choses ne vont pas si bien. Peut-être que votre patron est abusif, ou que l’entreprise semble sur le point de s’effondrer.
Si vous avez fait appel à un recruteur externe pour décrocher le poste, vous pourriez craindre que votre démission ruine votre relation avec lui. Vous vous demanderez peut-être si la nouvelle se répandra et que vous vous retrouverez avec une réputation ternie. Quand on y pense, l’industrie de la technologie est une petite communauté.
Voici quelques conseils que Nick Kolakowski vous offre dans l’un de ces billets sur dice.com pour survivre à cette période de transition délicate.
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Soyez sûr de vous
Vous pourriez arriver dans votre nouveau boulot au début d’une semaine particulièrement mauvaise, alors que les esprits s’échauffent et qu’un projet semble au bord de l’implosion.
Ça vaut toujours la peine de rester jusqu’à ce que vous puissiez déterminer si la négativité autour de vous est temporaire ou permanente. Il faut parfois des semaines, voire des mois, pour s’installer, surtout dans une nouvelle industrie ou un nouveau sous-secteur.
Bien sûr, il y a des exceptions. Si votre nouveau patron vous lance quelque chose de dur à la tête pendant votre première heure à votre bureau… oui, vous devriez démissionner.
Ayez du tact
Votre nouvelle entreprise pourrait ressembler à un paysage d’enfer. Mais votre envie de quitter votre job peut se résumer à un simple désalignement : l’entreprise est bien, et vos gestionnaires sont parfaitement gentils, mais toute la configuration n’est pas faite pour vous.
Que la situation soit terrible ou simplement « bof », vous devriez faire de votre mieux pour partir avec le plus de tact possible. Même si vos gestionnaires et vos collègues sont contrariés par votre départ imminent, restez professionnel et optimiste.
N’abusez pas des excuses et dites clairement qu’en fin de compte, c’est le meilleur scénario pour tout le monde : vos collègues ne méritent pas quelqu’un qui n’est pas un bon fit au sein de l’équipe, et la vie est trop courte pour travailler pour une entreprise qui n’a pas tout votre enthousiasme.
Si l’expérience a été atroce, résistez, à votre sortie, à l’envie d’insulter ou de rabaisser l’entreprise. Les gens en TIC ont de la mémoire, et il est fort probable que vous rencontrerez à nouveau certains de vos gestionnaires et collègues de travail, dans un contexte différent.
Faites-le en face à face
Si vous êtes gêné par votre envie de quitter prématurément, vous pourriez être tenté de soumettre votre démission par courriel ou par téléphone.
N’Y PENSEZ MÊME PAS !
Rassemblez votre courage, rencontrez votre patron en face à face et démissionnez. Votre boss pourrait être choqué, surpris ou même en colère ; il peut essayer de vous persuader de rester, et même vous offrir une augmentation de salaire ou de meilleurs avantages.
L’argent et les avantages sont magnifiques, mais si vous êtes motivé à quitter, assurez-vous de remettre une lettre de démission en bonne et due forme. Vous n’avez pas à vous expliquer, puisqu’une lettre de démission se doit d’être courte et précise. Comme on dit, short and sweet. Évitez la négativité.
Donnez-leur du temps
Vous devriez donner à votre employeur un minimum de deux semaines (ou qu’importe le minimum requis par l’entreprise). Ça vous assurera un départ en bons termes et donnera à la compagnie un peu plus de jeu pour trouver un remplaçant.
Négociation
Il y a clairement quelque chose qui vous a attiré dans cette entreprise. Sinon, vous n’auriez pas postulé. Si vous êtes réellement motivé à quitter, c’est d’une certaine manière un message lancé aux ressources humaines. Le drapeau rouge est dans le vent ! Ils essaieront sûrement de vous garder en vous offrant d’ajuster votre rôle ou de régler directement vos problèmes avec l’entreprise.
Même si vous voulez partir, prenez le temps de les écouter. S’ils vous offrent quelque chose d’intéressant, vous pourriez être persuadé de rester. Cependant, ne faites pas trainer les négociations et ne profitez pas de leur enthousiasme à vous garder pour demander davantage de concessions. Comme vous avez déjà démontré une volonté de partir, leur patience peut s’user assez rapidement.
Sur ce, bonne démission !
Imaginez ceci : vous venez de décrocher un nouveau boulot. C’est votre première semaine au bureau, et les choses ne vont pas si bien. Peut-être que votre patron est abusif, ou que l’entreprise semble sur le point de s’effondrer.
Si vous avez fait appel à un recruteur externe pour décrocher le poste, vous pourriez craindre que votre démission ruine votre relation avec lui. Vous vous demanderez peut-être si la nouvelle se répandra et que vous vous retrouverez avec une réputation ternie. Quand on y pense, l’industrie de la technologie est une petite communauté.
Voici quelques conseils que Nick Kolakowski vous offre dans l’un de ces billets sur dice.com pour survivre à cette période de transition délicate.
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Soyez sûr de vous
Vous pourriez arriver dans votre nouveau boulot au début d’une semaine particulièrement mauvaise, alors que les esprits s’échauffent et qu’un projet semble au bord de l’implosion.
Ça vaut toujours la peine de rester jusqu’à ce que vous puissiez déterminer si la négativité autour de vous est temporaire ou permanente. Il faut parfois des semaines, voire des mois, pour s’installer, surtout dans une nouvelle industrie ou un nouveau sous-secteur.
Bien sûr, il y a des exceptions. Si votre nouveau patron vous lance quelque chose de dur à la tête pendant votre première heure à votre bureau… oui, vous devriez démissionner.
Ayez du tact
Votre nouvelle entreprise pourrait ressembler à un paysage d’enfer. Mais votre envie de quitter votre job peut se résumer à un simple désalignement : l’entreprise est bien, et vos gestionnaires sont parfaitement gentils, mais toute la configuration n’est pas faite pour vous.
Que la situation soit terrible ou simplement « bof », vous devriez faire de votre mieux pour partir avec le plus de tact possible. Même si vos gestionnaires et vos collègues sont contrariés par votre départ imminent, restez professionnel et optimiste.
N’abusez pas des excuses et dites clairement qu’en fin de compte, c’est le meilleur scénario pour tout le monde : vos collègues ne méritent pas quelqu’un qui n’est pas un bon fit au sein de l’équipe, et la vie est trop courte pour travailler pour une entreprise qui n’a pas tout votre enthousiasme.
Si l’expérience a été atroce, résistez, à votre sortie, à l’envie d’insulter ou de rabaisser l’entreprise. Les gens en TIC ont de la mémoire, et il est fort probable que vous rencontrerez à nouveau certains de vos gestionnaires et collègues de travail, dans un contexte différent.
Faites-le en face à face
Si vous êtes gêné par votre envie de quitter prématurément, vous pourriez être tenté de soumettre votre démission par courriel ou par téléphone.
N’Y PENSEZ MÊME PAS !
Rassemblez votre courage, rencontrez votre patron en face à face et démissionnez. Votre boss pourrait être choqué, surpris ou même en colère ; il peut essayer de vous persuader de rester, et même vous offrir une augmentation de salaire ou de meilleurs avantages.
L’argent et les avantages sont magnifiques, mais si vous êtes motivé à quitter, assurez-vous de remettre une lettre de démission en bonne et due forme. Vous n’avez pas à vous expliquer, puisqu’une lettre de démission se doit d’être courte et précise. Comme on dit, short and sweet. Évitez la négativité.
Donnez-leur du temps
Vous devriez donner à votre employeur un minimum de deux semaines (ou qu’importe le minimum requis par l’entreprise). Ça vous assurera un départ en bons termes et donnera à la compagnie un peu plus de jeu pour trouver un remplaçant.
Négociation
Il y a clairement quelque chose qui vous a attiré dans cette entreprise. Sinon, vous n’auriez pas postulé. Si vous êtes réellement motivé à quitter, c’est d’une certaine manière un message lancé aux ressources humaines. Le drapeau rouge est dans le vent ! Ils essaieront sûrement de vous garder en vous offrant d’ajuster votre rôle ou de régler directement vos problèmes avec l’entreprise.
Même si vous voulez partir, prenez le temps de les écouter. S’ils vous offrent quelque chose d’intéressant, vous pourriez être persuadé de rester. Cependant, ne faites pas trainer les négociations et ne profitez pas de leur enthousiasme à vous garder pour demander davantage de concessions. Comme vous avez déjà démontré une volonté de partir, leur patience peut s’user assez rapidement.
Sur ce, bonne démission !
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Publié il y a 16 jours
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