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IA: il n'est toujours pas trop tard!
Eric Martel
19 avril 2019
Carrière, Actualités, IA
4 minutes à lire
354
Votre entreprise n’a toujours pas intégré l’intelligence artificielle à ses activités? Il est minuit moins une. Voici pourquoi vous devez agir dès maintenant.
Lors du Salon Connexion qui a eu lieu les 17 et 18 avril dernier, Stéphane Garneau, président de Micro Logic, a mis en garde l’assistance, lors de la conférence « L’intelligence artificielle à portée de tous. »
« Ce n’est pas compliqué: il y a dix ans, si on n’avait pas fait une transformation numérique, je ne serais pas ici pour vous parler aujourd’hui, a-t-il lancé sur la scène de la Place Bonaventure de Montréal. À l’époque, c’était peut-être un peu tôt, mais maintenant, c’est un peu tard. »
Alors, est-ce réellement trop tard pour intégrer l’IA aux activités de son entreprise? Non.
L’intelligence artificielle n’a pas fini de modifier le monde des affaires, s’il n’en tient qu’à Richard Langlois, vice-président de KPI Digital Solutions et co-conférencier lors de la présentation.
« Elle ne changera pas simplement un peu les processus: elle le fera drastiquement. C’est la nouvelle électricité », s’est-il exclamé.
Alors, comment entamer un virage vers l’IA pour son entreprise? Qui l’a déjà entamé? Pourquoi le faire? Les conférenciers se sont penchés sur ces questions.
D’entrée de jeu, Stéphane Garneau lance que 75% des grandes entreprises font déjà l’usage de l’IA.
Et croyez-le ou non, mais vous pourriez faire partie du lot.
« Même si vous n’êtes pas surexposé à l’IA, je suis convaincu que je pourrais entrer dans vos installations et trouver quelque chose que vous faites avec l’IA, sans même le savoir. On pense que c’est immense, couteux à implanter, mais ça se fait bien en y allant étape par étape », explique-t-il.
Le hic avec l’implantation de l’IA, c’est que 51% des entreprises estiment manquer d’expertise ou de ressources. Le président de Micro Logic ajoute que 40% des responsables informatiques ne la comprennent tout simplement pas.
Donc, afin d’effectuer un virage vers l’IA, il faut réviser ses processus, et analyser comment est-il possible de les améliorer.
Pour répondre à la question, il faut commencer par comprendre ce qu’apportera l’IA à votre entreprise. Il ne faut pas croire qu’en l’implantant, vous n’aurez plus à réfléchir à vos divers processus d’affaires!
« On n’est pas en train de remplacer le cerveau! Mais on est capable de faire en sorte que certaines choses soient effectuées de manière différente, de manière plus optimale. La technologie vient appuyer ce que le cerveau fait de bien, et remplacer ce qu’il fait de moins bien », résume-t-il.
Or, ce n’est pas seulement aux membres de l’équipe TI d’une entreprise de songer à l’implantation de l’IA, mais bien à tous les membres de son équipe. Tous les employés effectuant des tâches répétitives doivent se demander si l’IA ne pourrait pas effectuer une partie de leur travail.
Lorsqu’une intégration potentielle de l’IA est soulevée, il faut ensuite déterminer les coûts impliqués, les bénéfices qui en seront tirés et la plus-value qui en résultera pour la clientèle.
« Tous ces éléments font en sorte que oui, l’IA sera rentable pour vous. Il faut qu’elle vous permette de vous approcher de votre client, de vous offrir une manière plus optimale de travailler », déclare Stéphane Garneau.
Si l’IA ne satisfait pas ces critères, attendez avant d’en faire l’intégration, suggère-t-il.
L’analyse prédictive est la priorité de 66% des entreprises en matière d’IA. Il s’agit d’analyses basées sur des faits présents et passés pour faire des hypothèses prédictives sur des évènements futurs.
Et pour réaliser ce type d’analyses, vous aurez besoin de données bien organisées.
Dans cette optique, la première étape pour intégrer l’IA à ses activités est de bien rassembler ses données.
« On ne peut pas les mettre dans un disque traditionnel, puisqu’il s’agit de données nominatives. Il faut considérer leur accessibilité, leur performance et un haut niveau de sécurité », explique Stéphane Garneau.
C’est pour cette raison que Richard Langlois suggère l’utilisation d’un lac de données, une méthode de stockage des métadonnées.
L’avantage principal de cette technique de stockage est de garder les données dans leur format original, ou de les transformer de manière minimale.
« Lorsqu’on intègre les données, on ne veut pas créer de friction. Si on n’évite pas la friction, on perd leur contexte. »
Tout ça demeure un univers mystérieux pour vous? N’hésitez pas à faire appel à un consultant en IA afin d’entamer votre virage numérique!
Lors du Salon Connexion qui a eu lieu les 17 et 18 avril dernier, Stéphane Garneau, président de Micro Logic, a mis en garde l’assistance, lors de la conférence « L’intelligence artificielle à portée de tous. »
« Ce n’est pas compliqué: il y a dix ans, si on n’avait pas fait une transformation numérique, je ne serais pas ici pour vous parler aujourd’hui, a-t-il lancé sur la scène de la Place Bonaventure de Montréal. À l’époque, c’était peut-être un peu tôt, mais maintenant, c’est un peu tard. »
Alors, est-ce réellement trop tard pour intégrer l’IA aux activités de son entreprise? Non.
L’intelligence artificielle n’a pas fini de modifier le monde des affaires, s’il n’en tient qu’à Richard Langlois, vice-président de KPI Digital Solutions et co-conférencier lors de la présentation.
« Elle ne changera pas simplement un peu les processus: elle le fera drastiquement. C’est la nouvelle électricité », s’est-il exclamé.
Alors, comment entamer un virage vers l’IA pour son entreprise? Qui l’a déjà entamé? Pourquoi le faire? Les conférenciers se sont penchés sur ces questions.
Richard Langlois, vice président de KPI Digital production.
Une utilisation répandue
D’entrée de jeu, Stéphane Garneau lance que 75% des grandes entreprises font déjà l’usage de l’IA.
Et croyez-le ou non, mais vous pourriez faire partie du lot.
Stéphane Garneau , Président de Micro Logic.
« Même si vous n’êtes pas surexposé à l’IA, je suis convaincu que je pourrais entrer dans vos installations et trouver quelque chose que vous faites avec l’IA, sans même le savoir. On pense que c’est immense, couteux à implanter, mais ça se fait bien en y allant étape par étape », explique-t-il.
Le hic avec l’implantation de l’IA, c’est que 51% des entreprises estiment manquer d’expertise ou de ressources. Le président de Micro Logic ajoute que 40% des responsables informatiques ne la comprennent tout simplement pas.
Donc, afin d’effectuer un virage vers l’IA, il faut réviser ses processus, et analyser comment est-il possible de les améliorer.
Intégrer l’IA à mon entreprise vaut-il la peine?
Pour répondre à la question, il faut commencer par comprendre ce qu’apportera l’IA à votre entreprise. Il ne faut pas croire qu’en l’implantant, vous n’aurez plus à réfléchir à vos divers processus d’affaires!
« On n’est pas en train de remplacer le cerveau! Mais on est capable de faire en sorte que certaines choses soient effectuées de manière différente, de manière plus optimale. La technologie vient appuyer ce que le cerveau fait de bien, et remplacer ce qu’il fait de moins bien », résume-t-il.
Or, ce n’est pas seulement aux membres de l’équipe TI d’une entreprise de songer à l’implantation de l’IA, mais bien à tous les membres de son équipe. Tous les employés effectuant des tâches répétitives doivent se demander si l’IA ne pourrait pas effectuer une partie de leur travail.
Lorsqu’une intégration potentielle de l’IA est soulevée, il faut ensuite déterminer les coûts impliqués, les bénéfices qui en seront tirés et la plus-value qui en résultera pour la clientèle.
« Tous ces éléments font en sorte que oui, l’IA sera rentable pour vous. Il faut qu’elle vous permette de vous approcher de votre client, de vous offrir une manière plus optimale de travailler », déclare Stéphane Garneau.
Si l’IA ne satisfait pas ces critères, attendez avant d’en faire l’intégration, suggère-t-il.
Par où commencer?
L’analyse prédictive est la priorité de 66% des entreprises en matière d’IA. Il s’agit d’analyses basées sur des faits présents et passés pour faire des hypothèses prédictives sur des évènements futurs.
Et pour réaliser ce type d’analyses, vous aurez besoin de données bien organisées.
Dans cette optique, la première étape pour intégrer l’IA à ses activités est de bien rassembler ses données.
« On ne peut pas les mettre dans un disque traditionnel, puisqu’il s’agit de données nominatives. Il faut considérer leur accessibilité, leur performance et un haut niveau de sécurité », explique Stéphane Garneau.
C’est pour cette raison que Richard Langlois suggère l’utilisation d’un lac de données, une méthode de stockage des métadonnées.
L’avantage principal de cette technique de stockage est de garder les données dans leur format original, ou de les transformer de manière minimale.
« Lorsqu’on intègre les données, on ne veut pas créer de friction. Si on n’évite pas la friction, on perd leur contexte. »
Tout ça demeure un univers mystérieux pour vous? N’hésitez pas à faire appel à un consultant en IA afin d’entamer votre virage numérique!
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