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Licencié? Vous n'êtes pas forcément un mauvais employé !
Céline Gobert
28 août 2018
Carrière
3 minutes à lire
257
Être licencié est l'une des expériences les plus difficiles auxquelles vous pouvez faire face dans votre carrière. Cela ne fait pas de vous un mauvais conseiller pour autant…
Choc, chagrin et anxiété sont des sentiments qui accompagnent un congédiement.
Pour la coach Susan Peppercorn, il est alors nécessaire de ne pas écouter les critiques de sa petite voix intérieure qui se montre souvent sans pitié.
Pourquoi est-ce important? Tout simplement parce que ce vous pensez joue un rôle majeur dans la réussite de votre transition vers la prochaine phase de votre carrière et de votre vie.
Même si une mise à pied peut être temporairement déstabilisante, elle ne doit pas faire dérailler votre carrière. Soyez de ces personnes qui se relèvent et progressent, pas de celles piégées dans un cycle de colère et d'auto-critique inutile. Et rappelez-vous qu’il y a toujours façons de parler des aspects moins reluisants de sa carrière dans son CV!
Voici trois conseils du site Harvard Business Review.
1- Gardez une attitude positive
Oui, c’est facile à dire. Pourtant, c’est essentiel. Pour rebondir après un échec, il faut absolument éviter de ressasser des idées noires, elles renforcent les problèmes et ne conduisent jamais vers des solutions potentielles.
Si vous vous répétez les mêmes choses en boucle, il y a de fortes chances pour que vous commenciez à vous blâmer plus que de raison, à vous sentir de plus en plus frustré, etc. Comment allez-vous donc retrouver un travail dans un tel état d’esprit?
Si au contraire, après le choc du congédiement, vous commencez à jeter votre dévolu sur de nouvelles opportunités, votre expérience va être tout à fait différente.
Vous serez peut-être déjà plus motivé à mettre à jour votre CV et votre profil LinkedIn pour refléter le fait que vous en recherche d’emploi et vous commencerez peut-être à communiquer stratégiquement avec son réseau!
2- Remettez en question vos pensées
Après une mise à pied, il est tout à fait normal que vous vous retrouviez en proie à la colère et au doute. Ces sentiments peuvent même persister.
Même s'il est important de reconnaître ce qui s'est passé et d’accueillir vos émotions, il faut aussi que vous fassiez attention à ce que vous vous dites car votre style de pensée pourrait entraver vos objectifs.
Prendre du recul sur vos propres pensées est une bonne façon de procéder.
Voici quelques exemples de pensées négatives que vous pourriez avoir après une mise à pied, jumelées à des questions qu’il est important de vous poser :
Pensée: « J'aurais pu faire plus pour éviter d’être licencié. »
Question: « Quelles preuves ai-je que j'aurais pu empêcher cette mise à pied? »
Pensée: « Ma mise à pied est due à un manque de compétence de ma part. »
Question: « Comment est-ce que je sais avec certitude que cela a rapport avec un manque ou un déficit de ma part? »
Pensée: « J'ai été malchanceux, au mauvais endroit au mauvais moment.»
Question: « Quels enjeux d’affaires ont pu menés les gens à penser que mon travail était redondant? »
Pensée: «C'est une catastrophe, je ne pourrai jamais m’en remettre. »
Question: «Quelles possibilités de carrière suis-je maintenant libre d'explorer?»
3- Concentrez-vous sur vos forces, pas vos faiblesses
Enfin, élargissez un peu votre perspective et observez votre carrière au complet.
L’objectif de cet exercice est de reconnaître que vous avez déjà vécu votre part de revers professionnels (ainsi que personnels, sans aucun doute), mais que vous avez su rebondir après chaque problème passé pour atteindre votre position actuelle.
Voici trois questions à vous poser pour ce faire :
Quelles forces avez-vous utilisées pour résoudre le problème? Qu'avez-vous appris sur vous-même durant le processus?
Et - l’essentiel - comment pouvez-vous utiliser ces forces dans votre transition de carrière actuelle?
Choc, chagrin et anxiété sont des sentiments qui accompagnent un congédiement.
Pour la coach Susan Peppercorn, il est alors nécessaire de ne pas écouter les critiques de sa petite voix intérieure qui se montre souvent sans pitié.
Pourquoi est-ce important? Tout simplement parce que ce vous pensez joue un rôle majeur dans la réussite de votre transition vers la prochaine phase de votre carrière et de votre vie.
Même si une mise à pied peut être temporairement déstabilisante, elle ne doit pas faire dérailler votre carrière. Soyez de ces personnes qui se relèvent et progressent, pas de celles piégées dans un cycle de colère et d'auto-critique inutile. Et rappelez-vous qu’il y a toujours façons de parler des aspects moins reluisants de sa carrière dans son CV!
Voici trois conseils du site Harvard Business Review.
1- Gardez une attitude positive
Oui, c’est facile à dire. Pourtant, c’est essentiel. Pour rebondir après un échec, il faut absolument éviter de ressasser des idées noires, elles renforcent les problèmes et ne conduisent jamais vers des solutions potentielles.
Si vous vous répétez les mêmes choses en boucle, il y a de fortes chances pour que vous commenciez à vous blâmer plus que de raison, à vous sentir de plus en plus frustré, etc. Comment allez-vous donc retrouver un travail dans un tel état d’esprit?
Si au contraire, après le choc du congédiement, vous commencez à jeter votre dévolu sur de nouvelles opportunités, votre expérience va être tout à fait différente.
Vous serez peut-être déjà plus motivé à mettre à jour votre CV et votre profil LinkedIn pour refléter le fait que vous en recherche d’emploi et vous commencerez peut-être à communiquer stratégiquement avec son réseau!
2- Remettez en question vos pensées
Après une mise à pied, il est tout à fait normal que vous vous retrouviez en proie à la colère et au doute. Ces sentiments peuvent même persister.
Même s'il est important de reconnaître ce qui s'est passé et d’accueillir vos émotions, il faut aussi que vous fassiez attention à ce que vous vous dites car votre style de pensée pourrait entraver vos objectifs.
Prendre du recul sur vos propres pensées est une bonne façon de procéder.
Voici quelques exemples de pensées négatives que vous pourriez avoir après une mise à pied, jumelées à des questions qu’il est important de vous poser :
Pensée: « J'aurais pu faire plus pour éviter d’être licencié. »
Question: « Quelles preuves ai-je que j'aurais pu empêcher cette mise à pied? »
Pensée: « Ma mise à pied est due à un manque de compétence de ma part. »
Question: « Comment est-ce que je sais avec certitude que cela a rapport avec un manque ou un déficit de ma part? »
Pensée: « J'ai été malchanceux, au mauvais endroit au mauvais moment.»
Question: « Quels enjeux d’affaires ont pu menés les gens à penser que mon travail était redondant? »
Pensée: «C'est une catastrophe, je ne pourrai jamais m’en remettre. »
Question: «Quelles possibilités de carrière suis-je maintenant libre d'explorer?»
3- Concentrez-vous sur vos forces, pas vos faiblesses
Enfin, élargissez un peu votre perspective et observez votre carrière au complet.
L’objectif de cet exercice est de reconnaître que vous avez déjà vécu votre part de revers professionnels (ainsi que personnels, sans aucun doute), mais que vous avez su rebondir après chaque problème passé pour atteindre votre position actuelle.
Voici trois questions à vous poser pour ce faire :
Quelles forces avez-vous utilisées pour résoudre le problème? Qu'avez-vous appris sur vous-même durant le processus?
Et - l’essentiel - comment pouvez-vous utiliser ces forces dans votre transition de carrière actuelle?
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Publié il y a 16 jours
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