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Le Facebook pour entreprises
Eric Martel
29 mai 2019
TI, Web, Actualités
3 minutes à lire
418
Mis à jour le 6 juin 2019
Cette plateforme vous permet de féliciter vos collègues, et même de leur permettre de s’acheter des récompenses!
En situation de plein emploi dans le domaine techno, ce ne sont plus les employés qui doivent chanter la pomme aux employeurs, mais bien l’inverse.
C’est sur ces bases qu’a été fondé Applauz, une plateforme montréalaise favorisant la reconnaissance interne des employés et leur rétention.
« Les employeurs essaient constamment de s’améliorer, d’offrir une meilleure expérience à leurs employés. Une manière de la faire, c’est de mettre en valeur leurs bons coups qui passent inaperçus dans la compagnie », explique Jean-François Paquin, vice-président des ventes de l’entreprise.
Applauz est un fil de nouvelles, propulsé par le cloud, sur lequel les employés peuvent faire des publications afin de souligner les bons coups de leurs collègues. À ces publications sont attribuées des points, qui détiennent une valeur monétaire.
L’employé félicité peut donc utiliser ses points acquis afin de se procurer divers produits exposés dans le catalogue de l’entreprise, dont la valeur varie entre 5 et 15 000 dollars. On y retrouve plus de 350 marques et 4000 produits.
Vous l’aurez compris, on ne se dote pas d’un catalogue si bien garni en claquant des doigts.
En fait, Applauz est une entreprise dérivée de KLF Group, spécialisée en développement et gestion de programmes de reconnaissance des employés et en fidélisation de la clientèle.
KLF Group supporte des milliers de programme de fidélité en expédiant des récompenses, stockées dans son entrepôt de 20 000 pieds carrés, aux consommateurs.
« Pendant 14 ans, on a été invisibles. C’est quand on a réalisé la problématique des petites et moyennes entreprises, qui ont de la difficulté à conserver leurs employés milléniaux, qu’Applauz a commencé à apparaître dans nos têtes », se remémore Jean-Franĉois Paquin.
Six mois plus tard, le logiciel voyait le jour.
Aujourd’hui, les défis techniques que rencontre l’application Applauz sont toujours nombreux.
« Tu veux développer une plateforme cool, intuitive. Tu as 42 000 idées en tête, mais tu ne peux pas toutes les utiliser pour bâtir ta plateforme, explique le vice-président. Tu commences avec le minimum, et petit à petit, tu y ajoutes des fonctionnalités. »
Développer de nouvelles fonctionnalités pour une plateforme de cette envergure n'est pas toujours facile pour une équipe qui compte 43 employés.
« C’est un gros challenge d’avoir les bonnes ressources. On ne vit pas la même réalité que Google, on ne peut pas se permettre de payer un programmeur 125 000 dollars par année. On embauche des plus jeunes, que l’on doit former. »
Au moins, Applauz peut miser sur les technologies utilisées par KLF, qui lui ont permis de tripler sa productivité.
En entrepôt, les employés utilisent des iPads sur lesquels des applications mobiles ont été développées. Ils peuvent parcourir les listes de commandes, contenant les produits selon leur emplacement dans l'entrepôt. Les erreurs sont également diminuées, puisque les employés peuvent déterminer le contenu d’une boîte avec un outil de balayage numérique.
« On a diminué le nombre de pas effectuées entre chaque produit. Au lieu d’expédier 40 commandes par jour, les employés arrivent à en faire 150. »
Jean-François Paquin préfère avertir les utilisateurs potentiels de Applauz : bien qu’il s’agisse d’une belle solution de reconnaissance des employés, elle doit être appuyée par une stratégie de ressources humaines pour être efficace.
« Ça ne remplace pas le coaching, les cocktails, les rencontres individuelles ou les partys de Noël, mais c’est une manière efficace de communiquer entre employés, de tisser des liens », dénote-t-il.
Aucun frais initiaux n’ont à être déboursés pour utiliser l’application. Cependant, les employeurs doivent acheter des points, qui sont ensuite utilisés par les employés pour se procurer des récompenses.
Dans un futur rapproché, une version payante de l’application, qui coûtera trois dollars, sera lancée.
« Notre version gratuite bat déjà 80 % des fonctionnalités des autres plateformes », conclut Jean-François Paquin.
En situation de plein emploi dans le domaine techno, ce ne sont plus les employés qui doivent chanter la pomme aux employeurs, mais bien l’inverse.
C’est sur ces bases qu’a été fondé Applauz, une plateforme montréalaise favorisant la reconnaissance interne des employés et leur rétention.
« Les employeurs essaient constamment de s’améliorer, d’offrir une meilleure expérience à leurs employés. Une manière de la faire, c’est de mettre en valeur leurs bons coups qui passent inaperçus dans la compagnie », explique Jean-François Paquin, vice-président des ventes de l’entreprise.
Applauz est un fil de nouvelles, propulsé par le cloud, sur lequel les employés peuvent faire des publications afin de souligner les bons coups de leurs collègues. À ces publications sont attribuées des points, qui détiennent une valeur monétaire.
L’employé félicité peut donc utiliser ses points acquis afin de se procurer divers produits exposés dans le catalogue de l’entreprise, dont la valeur varie entre 5 et 15 000 dollars. On y retrouve plus de 350 marques et 4000 produits.
Un grand frère
Vous l’aurez compris, on ne se dote pas d’un catalogue si bien garni en claquant des doigts.
En fait, Applauz est une entreprise dérivée de KLF Group, spécialisée en développement et gestion de programmes de reconnaissance des employés et en fidélisation de la clientèle.
KLF Group supporte des milliers de programme de fidélité en expédiant des récompenses, stockées dans son entrepôt de 20 000 pieds carrés, aux consommateurs.
« Pendant 14 ans, on a été invisibles. C’est quand on a réalisé la problématique des petites et moyennes entreprises, qui ont de la difficulté à conserver leurs employés milléniaux, qu’Applauz a commencé à apparaître dans nos têtes », se remémore Jean-Franĉois Paquin.
Six mois plus tard, le logiciel voyait le jour.
Trois fois plus productifs
Aujourd’hui, les défis techniques que rencontre l’application Applauz sont toujours nombreux.
« Tu veux développer une plateforme cool, intuitive. Tu as 42 000 idées en tête, mais tu ne peux pas toutes les utiliser pour bâtir ta plateforme, explique le vice-président. Tu commences avec le minimum, et petit à petit, tu y ajoutes des fonctionnalités. »
Développer de nouvelles fonctionnalités pour une plateforme de cette envergure n'est pas toujours facile pour une équipe qui compte 43 employés.
« C’est un gros challenge d’avoir les bonnes ressources. On ne vit pas la même réalité que Google, on ne peut pas se permettre de payer un programmeur 125 000 dollars par année. On embauche des plus jeunes, que l’on doit former. »
Au moins, Applauz peut miser sur les technologies utilisées par KLF, qui lui ont permis de tripler sa productivité.
En entrepôt, les employés utilisent des iPads sur lesquels des applications mobiles ont été développées. Ils peuvent parcourir les listes de commandes, contenant les produits selon leur emplacement dans l'entrepôt. Les erreurs sont également diminuées, puisque les employés peuvent déterminer le contenu d’une boîte avec un outil de balayage numérique.
« On a diminué le nombre de pas effectuées entre chaque produit. Au lieu d’expédier 40 commandes par jour, les employés arrivent à en faire 150. »
Une plateforme gratuite
Jean-François Paquin préfère avertir les utilisateurs potentiels de Applauz : bien qu’il s’agisse d’une belle solution de reconnaissance des employés, elle doit être appuyée par une stratégie de ressources humaines pour être efficace.
« Ça ne remplace pas le coaching, les cocktails, les rencontres individuelles ou les partys de Noël, mais c’est une manière efficace de communiquer entre employés, de tisser des liens », dénote-t-il.
Aucun frais initiaux n’ont à être déboursés pour utiliser l’application. Cependant, les employeurs doivent acheter des points, qui sont ensuite utilisés par les employés pour se procurer des récompenses.
Dans un futur rapproché, une version payante de l’application, qui coûtera trois dollars, sera lancée.
« Notre version gratuite bat déjà 80 % des fonctionnalités des autres plateformes », conclut Jean-François Paquin.
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