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Comment encourager les filles à coder ?
Radio- Canada
15 octobre 2018
Carrière, TI
2 minutes à lire
287
Mis à jour le 15 octobre 2018
Une conférence organisée à Montréal pour encourager les jeunes femmes à se lancer en informatique...
Les femmes sont encore peu présentes dans le domaine des technologies de l'information (TI). Le mouvement montréalais Les Filles et le code veut amener davantage de jeunes filles à envisager d'y travailler. C'est dans cette optique qu'une première journée carrières dédiée aux jeunes femmes était organisée samedi.
La communauté techno québécoise réclame la parité
Des recommandations pour plus de femmes en TI
L’événement se tenait à l’École de technologie supérieure (ÉTS) de Montréal. On y présentait des ateliers et des conférences. Les 200 participantes avaient aussi la chance d’y rencontrer des panélistes travaillant déjà dans le milieu des TI.
« Les filles qui sont là aujourd'hui sont au cégep et à l'université, qui sont des moments assez décisifs [pour le choix] de ce qu’on a envie de devenir, dans ce qu’on a envie d’explorer. J'ose espérer qu'on leur aura donné la piqûre », explique la panéliste Cassie Rhéaume, panéliste invitée et directrice chez LightHouse Lab.
L'initiative Les Filles et le code, chapeautée par Concertation Montréal, en est seulement à sa première année d'existence. À court terme, son objectif est clair : intéresser les filles au domaine de l'informatique dès qu'elles ont 12 ans.
En 2017, une étude de l'organisme TECHNOcompétences révélait que les femmes représentent 20 % des employés en technologies de l'information.
« Il y a des femmes qui ont réussi à percer le marché, donc c'est possible et il faut offrir ces modèles-là aux jeunes filles adolescentes », explique Richard Deschamps, président de Concertation Montréal.
La disparité entre les femmes et les hommes se fait aussi sentir dans les salles de classe.
« On est à peu près entre 2 et 5 filles par tranche de 45 étudiants », explique Marie-Philippe Gill, étudiante en génie logiciel à l’ÉTS.
Être seule dans un milieu majoritairement masculin l'a longtemps fait hésiter à se lancer dans le domaine.
« Je me demandais : est-ce que j'allais être assez forte pour passer à travers » se souvient la future ingénieure, qui parle aussi de sa passion pour la technologie sur son blogue, sa chaîne YouTube et son compte Instagram, qui compte 31 000 abonnés.
« Ce genre de journée là, c'est parfait justement, parce que si on est toutes seules dans nos classes, comme moi au cégep, ça va être difficile de rencontrer d'autres femmes en informatique », résume-t-elle.
Les femmes sont encore peu présentes dans le domaine des technologies de l'information (TI). Le mouvement montréalais Les Filles et le code veut amener davantage de jeunes filles à envisager d'y travailler. C'est dans cette optique qu'une première journée carrières dédiée aux jeunes femmes était organisée samedi.
La communauté techno québécoise réclame la parité
Des recommandations pour plus de femmes en TI
L’événement se tenait à l’École de technologie supérieure (ÉTS) de Montréal. On y présentait des ateliers et des conférences. Les 200 participantes avaient aussi la chance d’y rencontrer des panélistes travaillant déjà dans le milieu des TI.
« Les filles qui sont là aujourd'hui sont au cégep et à l'université, qui sont des moments assez décisifs [pour le choix] de ce qu’on a envie de devenir, dans ce qu’on a envie d’explorer. J'ose espérer qu'on leur aura donné la piqûre », explique la panéliste Cassie Rhéaume, panéliste invitée et directrice chez LightHouse Lab.
L'initiative Les Filles et le code, chapeautée par Concertation Montréal, en est seulement à sa première année d'existence. À court terme, son objectif est clair : intéresser les filles au domaine de l'informatique dès qu'elles ont 12 ans.
Disparité femmes-hommes
En 2017, une étude de l'organisme TECHNOcompétences révélait que les femmes représentent 20 % des employés en technologies de l'information.
« Il y a des femmes qui ont réussi à percer le marché, donc c'est possible et il faut offrir ces modèles-là aux jeunes filles adolescentes », explique Richard Deschamps, président de Concertation Montréal.
La disparité entre les femmes et les hommes se fait aussi sentir dans les salles de classe.
« On est à peu près entre 2 et 5 filles par tranche de 45 étudiants », explique Marie-Philippe Gill, étudiante en génie logiciel à l’ÉTS.
Être seule dans un milieu majoritairement masculin l'a longtemps fait hésiter à se lancer dans le domaine.
« Je me demandais : est-ce que j'allais être assez forte pour passer à travers » se souvient la future ingénieure, qui parle aussi de sa passion pour la technologie sur son blogue, sa chaîne YouTube et son compte Instagram, qui compte 31 000 abonnés.
« Ce genre de journée là, c'est parfait justement, parce que si on est toutes seules dans nos classes, comme moi au cégep, ça va être difficile de rencontrer d'autres femmes en informatique », résume-t-elle.
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