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Il est coordonnateur de services TI chez Ludia!
Jean-Michel Clermont-Goulet
28 janvier 2019
Carrière, TI
5 minutes à lire
433
Lors de son entrevue d’embauche, le coordonnateur de services TI a dû monter un PC en entier. Il a eu le job!
François Locas a 32 ans et il a une passion infinie pour le monde de l’informatique. Il le dit lui-même, il a « toujours voulu travailler avec les ordinateurs. » Après sept années de cégep au Collège Ahuntsic de Montréal en technologie de l’électronique où il s’est spécialisé en ordinateur et réseau, il termine finalement ses études en 2013.
Une technique de sept ans, vraiment? C’est possible! « Je suis resté au cégep plus longtemps que la moyenne, s’exclame-t-il, sourire aux lèvres. On m’a dit « le cégep, c’est soit les pires trois années de ta vie ou les sept meilleures.” »
Aujourd’hui, le voilà qu’il dirige une équipe de trois techniciens chez Ludia, une entreprise québécoise basée dans le Vieux-Montréal qui crée et distribue divers contenus multiplateformes de divertissement numérique.
Rencontre avec le coordonnateur des services TI chez Ludia, afin d’en savoir un peu plus sur son métier et sa personne.
Lors de mon parcours scolaire, j’ai arrêté un an pour travailler en tant que QA (Analyste qualité) chez EA Montréal. Je me suis rendu compte que ce n’était pas ce que je voulais faire toute ma vie.
Après le cégep, j’ai travaillé pour Régulvar, une compagnie spécialisée dans la gestion de bâtiment. Après un an, je suis allé chez Fibrenoire, un fournisseur d’accès internet. Je n’y suis pas resté longtemps, car c’était du 24/7. Ça n’arrêtait pas et ce n’était pas ce que je cherchais. J’ai ensuite travaillé deux ans au Cégep Ahuntsic dans le département où j’ai étudié. Un genre de retour aux sources.
Je suis finalement entré chez Ludia, il y a quatre ans, en tant que technicien de support en TI.
J’ai toujours voulu travailler avec les ordinateurs. J’ai grandi avec un de mes frères qui était programmeur. À un certain point, nous étions les trois dans la même chambre avec trois PCs en réseau et nous jouions à des jeux ensemble.
Je n’avais pas l’argent pour m’acheter un ordinateur. Alors, lorsqu’ils s’achetaient un nouvel ordi ou qu’ils changeaient de pièces, ils me les donnaient et je montais mon propre PC. C’est un peu ça qui m’a donné le goût de travailler dans le domaine.
J’aimais gosser sur mon PC, alors je me suis dit « pourquoi ne pas travailler là-dedans! »
J’ai toujours voulu travailler dans les jeux vidéo. J’ai d’ailleurs commencé à étudier à l’UQAM en programmation pour éventuellement monter mon propre projet.
Je connaissais l’entreprise auparavant par un ami, qui était déjà à l’emploi de Ludia et qui m’a vendu sa salade !
Ça s’est bien passé. On m’a donné mon premier test : monter un PC. Si je n’avais pas accompli la tâche, je n’aurais pas eu la job. Une fois l’ordinateur monté, j’ai passé ma journée à me familiariser avec lui et les outils utilisés au sein de l’entreprise.
On m’a demandé graduellement de faire des choses, indépendamment. Après un mois, j’étais autonome.
Ma tâche principale est de coordonner l’équipe de support. C’est notre équipe qui monte les ordinateurs pour les employés de l’entreprise, qui installe les logiciels et qui donne des droits d’accès, entre autres. Je m’occupe d’eux et je m’assure qu’ils ont les outils nécessaires pour remplir leurs tâches quotidiennes.
Je m’assure que les tâches sont bien priorisées et de regarder « vers le futur » pour voir ce que nous pouvons faire pour améliorer le service, etc.
Dans le monde du jeu vidéo, on travaille avec tout. C’est un des challenges du TI dans le jeu vidéo; on a une grande variété de logiciels, car on a des programmeurs, des artistes, d’autres qui sont en QA, en marketing, etc.
On a de tout!
Non, mais ce qui est important, c’est de savoir faire de la bonne recherche sur chacun des logiciels. Il faut être capable de trouver des solutions avec les ressources disponibles. Ce n’est pas essentiel de tous les maîtriser, mais d’avoir une certaine connaissance.
C’est un atout d’avoir de l’expérience. Dans ma job, il y a une partie où il faut coacher les techniciens. Pour faire ça, il faut avoir une bonne idée de leur point de vue.
Une qualité assez importante est de bien saisir les priorités. On nous envoie plusieurs demandes en même temps et il est impossible de tout faire en même temps. Il faut penser à ce qui est essentiel.
Il faut aussi être à l’aise avec le contact humain. Tu diriges une équipe et il y a beaucoup de communication avec le reste de la compagnie.
Une bonne connaissance technique est de mise, et un intérêt pour la technologie et les nouvelles technologies qui sortent. Tu ne veux pas être surpris lorsqu’une personne te présente quelque chose.
En ce moment, ça fonctionne très bien à trois. Ça équivaut à un technicien par 100 employés. Si l’entreprise grossissait, j’aimerais clairement qu’elle soit agrandie.
C’est inévitable que la personne se ramasse avec une pile de tâches à faire. Ça peut décourager. Ce qu’il faut faire, c’est prendre du recul et y aller une chose à la fois.
Il ne faut pas essayer de tout faire en même temps.
Ce que je trouve important pour un emploi, c’est de me lever le matin et que ça me fasse plaisir de rejoindre mes collègues. C’est ce qu’on retrouve ici. La culture de l’entreprise est recherchée et tu peux voir que Ludia tient à cœur ses employés.
Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits pour aider les gens à progresser, autant personnellement que professionnellement. L’une de nos valeurs, c’est « Always level up ». On cherche toujours à s’améliorer.
Ludia affiche ses postes sur Espresso-jobs. Pour les consulter cliquez ici
François Locas a 32 ans et il a une passion infinie pour le monde de l’informatique. Il le dit lui-même, il a « toujours voulu travailler avec les ordinateurs. » Après sept années de cégep au Collège Ahuntsic de Montréal en technologie de l’électronique où il s’est spécialisé en ordinateur et réseau, il termine finalement ses études en 2013.
Une technique de sept ans, vraiment? C’est possible! « Je suis resté au cégep plus longtemps que la moyenne, s’exclame-t-il, sourire aux lèvres. On m’a dit « le cégep, c’est soit les pires trois années de ta vie ou les sept meilleures.” »
Aujourd’hui, le voilà qu’il dirige une équipe de trois techniciens chez Ludia, une entreprise québécoise basée dans le Vieux-Montréal qui crée et distribue divers contenus multiplateformes de divertissement numérique.
Rencontre avec le coordonnateur des services TI chez Ludia, afin d’en savoir un peu plus sur son métier et sa personne.
Parlez-moi de votre parcours professionnel.
Lors de mon parcours scolaire, j’ai arrêté un an pour travailler en tant que QA (Analyste qualité) chez EA Montréal. Je me suis rendu compte que ce n’était pas ce que je voulais faire toute ma vie.
Après le cégep, j’ai travaillé pour Régulvar, une compagnie spécialisée dans la gestion de bâtiment. Après un an, je suis allé chez Fibrenoire, un fournisseur d’accès internet. Je n’y suis pas resté longtemps, car c’était du 24/7. Ça n’arrêtait pas et ce n’était pas ce que je cherchais. J’ai ensuite travaillé deux ans au Cégep Ahuntsic dans le département où j’ai étudié. Un genre de retour aux sources.
Je suis finalement entré chez Ludia, il y a quatre ans, en tant que technicien de support en TI.
Avez-vous toujours voulu faire ce métier-là ?
J’ai toujours voulu travailler avec les ordinateurs. J’ai grandi avec un de mes frères qui était programmeur. À un certain point, nous étions les trois dans la même chambre avec trois PCs en réseau et nous jouions à des jeux ensemble.
Je n’avais pas l’argent pour m’acheter un ordinateur. Alors, lorsqu’ils s’achetaient un nouvel ordi ou qu’ils changeaient de pièces, ils me les donnaient et je montais mon propre PC. C’est un peu ça qui m’a donné le goût de travailler dans le domaine.
J’aimais gosser sur mon PC, alors je me suis dit « pourquoi ne pas travailler là-dedans! »
Pourquoi avoir choisi Ludia?
J’ai toujours voulu travailler dans les jeux vidéo. J’ai d’ailleurs commencé à étudier à l’UQAM en programmation pour éventuellement monter mon propre projet.
Je connaissais l’entreprise auparavant par un ami, qui était déjà à l’emploi de Ludia et qui m’a vendu sa salade !
Comment s’est passée votre première journée chez Ludia?
Ça s’est bien passé. On m’a donné mon premier test : monter un PC. Si je n’avais pas accompli la tâche, je n’aurais pas eu la job. Une fois l’ordinateur monté, j’ai passé ma journée à me familiariser avec lui et les outils utilisés au sein de l’entreprise.
On m’a demandé graduellement de faire des choses, indépendamment. Après un mois, j’étais autonome.
Un Coordonnateur de services TI, qu’est-ce que ça mange en hiver?
Ma tâche principale est de coordonner l’équipe de support. C’est notre équipe qui monte les ordinateurs pour les employés de l’entreprise, qui installe les logiciels et qui donne des droits d’accès, entre autres. Je m’occupe d’eux et je m’assure qu’ils ont les outils nécessaires pour remplir leurs tâches quotidiennes.
Je m’assure que les tâches sont bien priorisées et de regarder « vers le futur » pour voir ce que nous pouvons faire pour améliorer le service, etc.
Quel genre de logiciels utilisez-vous?
Dans le monde du jeu vidéo, on travaille avec tout. C’est un des challenges du TI dans le jeu vidéo; on a une grande variété de logiciels, car on a des programmeurs, des artistes, d’autres qui sont en QA, en marketing, etc.
On a de tout!
Devez-vous avoir une connaissance de tout?
Non, mais ce qui est important, c’est de savoir faire de la bonne recherche sur chacun des logiciels. Il faut être capable de trouver des solutions avec les ressources disponibles. Ce n’est pas essentiel de tous les maîtriser, mais d’avoir une certaine connaissance.
J’imagine qu’il faut certaines qualités pour être coordonnateur…
C’est un atout d’avoir de l’expérience. Dans ma job, il y a une partie où il faut coacher les techniciens. Pour faire ça, il faut avoir une bonne idée de leur point de vue.
Une qualité assez importante est de bien saisir les priorités. On nous envoie plusieurs demandes en même temps et il est impossible de tout faire en même temps. Il faut penser à ce qui est essentiel.
Il faut aussi être à l’aise avec le contact humain. Tu diriges une équipe et il y a beaucoup de communication avec le reste de la compagnie.
Une bonne connaissance technique est de mise, et un intérêt pour la technologie et les nouvelles technologies qui sortent. Tu ne veux pas être surpris lorsqu’une personne te présente quelque chose.
Vous êtes une petite équipe. Quel serait le nombre idéal d’employés?
En ce moment, ça fonctionne très bien à trois. Ça équivaut à un technicien par 100 employés. Si l’entreprise grossissait, j’aimerais clairement qu’elle soit agrandie.
Si vous aviez UN conseil à offrir au prochain coordonnateur de services TI?
C’est inévitable que la personne se ramasse avec une pile de tâches à faire. Ça peut décourager. Ce qu’il faut faire, c’est prendre du recul et y aller une chose à la fois.
Il ne faut pas essayer de tout faire en même temps.
Comment c’est, travailler chez Ludia ?
Ce que je trouve important pour un emploi, c’est de me lever le matin et que ça me fasse plaisir de rejoindre mes collègues. C’est ce qu’on retrouve ici. La culture de l’entreprise est recherchée et tu peux voir que Ludia tient à cœur ses employés.
Il y a beaucoup d’efforts qui sont faits pour aider les gens à progresser, autant personnellement que professionnellement. L’une de nos valeurs, c’est « Always level up ». On cherche toujours à s’améliorer.
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